Texte pour l'oeuvre « Étude en noir et blanc » de Marie-Christine Payette dans le cadre de l'exposition « Un regard sur l'art et la poésie » à l'Espace contemporain.
Nous t'observons. Mimésis des ministères, tu apparais en cachette. Chacune de tes figures révèlent des lieux de guerre, états nature. Sous la sentence de Richelieu selon lequel « le secret est l'âme des affaires publiques », tu configures des façades qui t'allongent le nez. Ta barricade danse, adaptable, tacticienne du front jusqu'au menton abhorrant tes sillons de vie, ces plis. Ton unicité. Nous te regardons. Némésis du territoire, tu laboures mille et une fois la terre afin que fleurissent des contes ou des organisations politiques. La chaire des événements te déterminent, te circoncis et t'encerclent. Selon les permissions, la joie trace ses interstices jusqu'aux pupilles, tes perles. Miroirs sacrés que tu portes souvent en froncement de soucis. Des lignes du passé au futur, tes chemins de traverse fourmillent ce faciès qui ne se dépose pas. Ta singularité. Nous t'aimons.
Nous t'observons. Mimésis des ministères, tu apparais en cachette. Chacune de tes figures révèlent des lieux de guerre, états nature. Sous la sentence de Richelieu selon lequel « le secret est l'âme des affaires publiques », tu configures des façades qui t'allongent le nez. Ta barricade danse, adaptable, tacticienne du front jusqu'au menton abhorrant tes sillons de vie, ces plis. Ton unicité. Nous te regardons. Némésis du territoire, tu laboures mille et une fois la terre afin que fleurissent des contes ou des organisations politiques. La chaire des événements te déterminent, te circoncis et t'encerclent. Selon les permissions, la joie trace ses interstices jusqu'aux pupilles, tes perles. Miroirs sacrés que tu portes souvent en froncement de soucis. Des lignes du passé au futur, tes chemins de traverse fourmillent ce faciès qui ne se dépose pas. Ta singularité. Nous t'aimons.